Ferdinand Hodler, L’Eiger, le Mönch et la Jungfrau au-dessus de la mer de brouillard, 1908, huile sur toile, 67.5 x 91 cm.
Alberto Giacometti (1901 – 1966), Homme qui marche II, 1960. Plâtre, 188,5 x 29,1 x 111,2 cm. Fondation Giacometti, Paris. Photo : © Succession Giacometti, 2019, ProLitteris Zurich.
A droite : Auguste Rodin (1840 – 1917), L’Homme qui marche, grand modèle, 1907. Plâtre, 219 x 160 x 73,5 cm Musée Rodin, Paris. Photo : © Musée Rodin –Hervé Lewandowski.
RODIN GIACOMETTI - FONDATION PIERRE GIANADDA
Julia Hountou, “Edito”, Cahier du Nouvelliste du 25 juin 2019 (Tirage : 73 500 exemplaires)
Julia Hountou, “Deux démarches artistiques profondément novatrices”, présentation de l’exposition sur le site de la Fondation Pierre Gianadda : voir ici
Paul Gauguin, La petite rêve. Etude, 1881. Huile sur toile, 59,7 x 74 cm. Coll. Ordrupgaard, Copenhague.
LA COLLECTION ORDRUPGAARD - TRESORS IMPRESSIONNISTES - FONDATION PIERRE GIANADDA
Grand plaisir d'avoir écrit sur les Trésors impressionnistes - La Collection Ordrupgaard. "Riche de soixante œuvres exceptionnelles, l’exposition Trésors impressionnistes propose un magnifique « voyage » parmi les chefs-d’œuvre du fameux Musée Ordrupgaard de Copenhague, qui rassemble les plus grandes figures de la peinture française du XIXe siècle : Edgar Degas, Paul Cézanne, Claude Monet, Paul Gauguin, Henri Matisse..." Julia Hountou
Julia Hountou, Article dans le Cahier du Nouvelliste, 13 juin 2018 :
Julia Hountou, Cahier du Nouvelliste, 06 février 2019 :
Julia Hountou, Présentation de l’exposition sur le site de la Fondation Pierre Gianadda : Infos ici
Toulouse-Lautrec, La Clownesse assise, Mademoiselle Cha-U-Kao, 1896
TOULOUSE-LAUTREC A LA BELLE EPOQUE - FRENCH CANCANS - FONDATION PIERRE GIANADDA
Paul Cézanne, Verre et pommes, 1879-1880. Huile sur toile, 31.5 x 40 cm.
CEZANNE - LE CHANT DE LA TERRE - FONDATION PIERRE GIANADDA
Tirage de la publication : 120 000 exemplaires
Présentation de l’exposition sur le site de la Fondation Pierre Gianadda : ici
Ferdinand Hodler, Le Lac de Thoune avec le Stockhorn, 1904
© Collection Christoph Blocher
HODLER - MONET - MUNCH - PEINDRE L’IMPOSSIBLE - FONDATION PIERRE GIANADDA
EDITO
« J’ai repris encore des choses impossibles à faire : de l’eau avec de l’herbe qui ondule dans le fond… c’est admirable à voir, mais c’est à rendre fou de vouloir faire ça. » Claude Monet
“À travers plus de soixante tableaux majeurs, l’exposition Hodler, Monet, Munch - Peindre l’impossible présente les chefs-d’œuvre de ces trois artistes incontournables de l’histoire de l’art, en collaboration avec le Musée Marmottan Monet à Paris où elle a d’abord été montrée cet hiver et en partenariat avec le Musée Munch d’Oslo en Norvège.
Ces représentants essentiels de la modernité européenne, entre impressionnisme, postimpressionnisme et symbolisme, actifs au cours du XXème siècle - jusqu’en 1918 pour Hodler, 1926 pour Monet et 1944 pour Munch - se sont tous trois lancé des défis picturaux, animés d’une même audace et au risque d’affronter l’incompréhension de leurs contemporains.
En effet, si le Suisse Ferdinand Hodler (1853-1918), le Norvégien Edvard Munch (1863-1944) et le Français Claude Monet (1840-1926) ne se sont jamais rencontrés, ils partagent cependant de semblables préoccupations artistiques souvent déclinées de manière sérielle. Persuadés que l’une des fonctions de la peinture est de représenter le monde et particulièrement ses paysages, ils n’hésitent pas à voyager pour être au plus près de leurs sujets. Ils s’attachent, avec des moyens différents, à dépeindre la montagne, la neige, l’eau, le soleil ou la nuit. Comment restituer sur une toile l’éclat éblouissant de l’astre du jour ou des étendues enneigées ? Comment suggérer les infimes variations de la lumière à la surface d’une rivière ou sur les reliefs montagneux en dépit de l’immobilité picturale ? Telles sont les questions qui obsèdent ces trois grands artistes. Dans cette confrontation avec le décor naturel dont les aspects changeants apparaissent comme fugitifs, voire insaisissables, rebelles à toute tentative d’appropriation, chacun d’eux fait l’expérience de la difficulté. Cette magnifique exposition révèle ainsi combien les trois hommes ont, sans relâche et usant de toutes les ressources de leur art, mis la peinture à l’épreuve de l’impossible. “ Julia Hountou, “Edito”, supplément du Nouvelliste, à l’occasion de l’exposition à la Fondation Pierre Gianadda
Hodler, Monet, Munch - Peindre l’impossible, Fondation Pierre Gianadda (CH), 03 février - 11 juin 2017
. Julia Hountou, “Edito - Hodler, Monet, Munch - Peindre l’impossible”, Le Nouvelliste, p. 3
. Julia Hountou, “Hodler, Monet, Munch - Peindre l’impossible”, Le Nouvelliste, pp. 4-5
. Julia Hountou, “Ferdinand Hodler ou la quête de l’idéal”, Le Nouvelliste, pp. 6-7.
. Julia Hountou, “Claude Monet ou le «magicien» de la lumière”, Le Nouvelliste, pp. 8-9.
. Julia Hountou, “Aux premiers jour de l'impressionnisme, l’œuvre fondatrice de la modernité”, Le Nouvelliste, pp. 10-11.
. Julia Hountou, “Edvard Munch ou les stigmates du deuil”, Le Nouvelliste, pp. 12-13.
Infos complémentaires sur l’exposition à la Fondation Pierre Gianadda : ici
Pablo Picasso, Jacqueline aux jambes repliées, 1954. Fusain et préparation sur toile. 92 x 73 cm. Coll. part.
PICASSO - L'OEUVRE ULTIME - HOMMAGE A JACQUELINE - FONDATION PIERRE GIANADDA
Julia Hountou, “Edito”, Picasso - L'oeuvre ultime
Julia Hountou, Picasso - L'oeuvre ultime (suite), p. 7
Julia Hountou, Picasso - L'oeuvre ultime (suite), p. 9
Julia Hountou, Picasso - L'oeuvre ultime (suite), p. 11
Julia Hountou, "Jacqueline Roque, épouse et muse aux allures d'odalisque", p. 13
Julia Hountou, "Jacqueline Roque, épouse et muse aux allures d'odalisque" (suite), p. 15
Julia Hountou, "Picasso et la gravure, une technique polymorphe au service de ses thèmes favoris", p. 17.
Julia Hountou, "La céramique, la liberté entre les mains", p. 19
Julia Hountou, "La série des ateliers, tels des "paysages intérieurs", p. 21
Julia Hountou, "Picasso, quelques repères biographiques", p. 23
Présentation de l’exposition sur le site de la Fondation Pierre Gianadda : ici
Anne-Chantal Pitteloud, Cartographie 10, 2013. Technique mixte
ENTRE CLAIR ET OBSCUR - COLLECTION D'ART DU NOUVELLISTE
18 avril - 28 juin 2015, Galerie de la Grenette, Sion (CH)
18 sept. - 27 nov. 2015, Galerie du Théâtre du Crochetan, Monthey (CH)
Créée à Sion en 1984, la Fondation d'Aide aux Artistes Valaisans est née du souhait de promouvoir l'art en Valais (CH) et d'en révéler toute la richesse et l'éclectisme. Au fil des ans, elle a acquis et réuni un grand nombre d'oeuvres variées, toutes représentatives de la création artistique valaisanne du milieu du XXe siècle à nos jours.
L'exposition Entre clair et obscur - Jeux de nuances, d'abord présentée à la Galerie de la Grenette à Sion (CH) puis à la Galerie du Théâtre du Crochetan à Monthey (CH), atteste la qualité de la Collection du Nouvelliste, sa diversité stylistique et témoigne, si besoin était, de sa raison d'être.
En sélectionnant des oeuvres aux tons noirs, gris et blancs, ce sont la sobriété et la cohérence qui ont été privilégiées. Traitée de mille façons, cette palette intemporelle déploie une infinité de possibilités et offre au regard son magnétisme et sa magie. »
Extrait du texte de Julia Hountou, curatrice
Galerie de la Grenette, Sion (CH)
VUES DE L’EXPOSITION À LA GALERIE DE LA GRENETTE, SION
MÉDIATION : VISITE GUIDÉE ASSURÉE PAR JULIA HOUNTOU, CURATRICE DE L’EXPOSITION, SUIVIE D’UN BRUNCH
PRESSE
Jean-François Albelda, “Le Valais en nuances de gris”, Le Nouvelliste, septembre 2015