Josette Taramarcaz, “Maisons montagnes”, sept éléments, Champex-Lac, Béton, métal ©Fabienne Lavenex
Couverture de la monographie, Edition Till Schaap, 2022
La monographie de Josette Taramarcaz rassemble pour la première fois l’ensemble de ses oeuvres, avec des textes des historiennes de l’art, Diane Antille et Julia Hountou, de la critique d’art Françoise Jaunin et de Paul Maret.
Traduction en allemand et en anglais.
Illustrée par 120 photographies. Edition Till Schaap, 2022
Christine Aymon
Voici un aperçu de la monographie de Christine Aymon, L'oeil sur le seuil (Editions Monographic Sierre, CH, 2021, 252 pages) dont j'ai eu le plaisir d'écrire trois textes :
. « Christine Aymon ou le voyage au fil des visages » (pp. 38-49)
. « Les Cabanes magiques de Christine Aymon » (pp. 76-80)
. « Un refuge onirique ou la Cabane sur un arbre perchée » (pp. 84-88)
Christine Aymon
Julia Hountou, « Christine Aymon ou le voyage au fil des visages », Christine Aymon - L'oeil sur le seuil, Editions Monographic Sierre, CH, 2021, 252 pages, pp. 38-49.
Julia Hountou, « Les Cabanes magiques de Christine Aymon », Christine Aymon - L'oeil sur le seuil, Editions Monographic Sierre, CH, 2021, 252 pages, pp. 76-80.
Julia Hountou, « Un refuge onirique ou la Cabane sur un arbre perchée », Christine Aymon - L'oeil sur le seuil, Editions Monographic Sierre, CH, 2021, 252 pages, pp. 84-88.
Alberto Giacometti (1901 – 1966), Homme qui marche II, 1960. Plâtre, 188,5 x 29,1 x 111,2 cm. Fondation Giacometti, Paris. Photo : © Succession Giacometti, 2019, ProLitteris Zurich.
A droite : Auguste Rodin (1840 – 1917), L’Homme qui marche, grand modèle, 1907. Plâtre, 219 x 160 x 73,5 cm Musée Rodin, Paris. Photo : © Musée Rodin –Hervé Lewandowski.
Albain Blanchet, Sans titre, 1991. Dessin à l’encre de Chine, 60 x 60 cm.
Exposition : 18 mai – 1er juillet 2018. Vernissage : vendredi 18 mai, 18h. La Grenette, Galerie de la Ville de Sion, Suisse.
Curatrice : Julia Hountou
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"La Galerie de la Grenette ouvre ses espaces au dessinateur et sculpteur sédunois Albain Blanchet pour une exposition de dessins à l’encre de Chine qui oscillent entre figuration et abstraction. En contact étroit avec la nature, l’artiste dépeint notamment le Valais (Suisse) dans un style propre à lui seul. A petits traits précis, il couvre le papier de maisons, de collines, imaginant des paysages où s’allient remarquablement rigueur et poésie. Les chalets semblent pressés les uns contre les autres tandis que leurs toits triangulaires s’emboîtent selon une géométrie minutieuse. Le jeu des ombres et des lumières sur les coteaux réduits à des sphères démultipliées qui se chevauchent confère un effet de perspective et de volume au décor.
Marquant un tournant dans sa création, sa rencontre avec Paul Messerli en 1964 l’initie au domaine de l’abstraction. Boules aux surprenants aspects, cubes conçus comme la base de toute une structure ou surfaces imbriquées les unes dans les autres constituent l’expression de l’équilibre auquel il aspire. Si ses travaux d’une grande finesse touchent souvent à l’imaginaire et au cosmos, sa palette d’une sobriété intemporelle décline une infinité de possibilités pour offrir au regard son magnétisme et sa magie. En construisant un monde de lumières et d’ombres, de profondeurs et d’échos, Albain Blanchet nous renvoie à l’essence des choses et à leur puissance originelle autour de tonalités à la portée universelle." Julia Hountou
Dossier de presse : PDF
Le Nouvelliste
Pablo Picasso, Jacqueline aux jambes repliées, 1954. Fusain et préparation sur toile. 92 x 73 cm. Coll. part.
Julia Hountou, “Edito”, Picasso - L'oeuvre ultime
Julia Hountou, Picasso - L'oeuvre ultime (suite), p. 7
Julia Hountou, Picasso - L'oeuvre ultime (suite), p. 9
Julia Hountou, Picasso - L'oeuvre ultime (suite), p. 11
Julia Hountou, "Jacqueline Roque, épouse et muse aux allures d'odalisque", p. 13
Julia Hountou, "Jacqueline Roque, épouse et muse aux allures d'odalisque" (suite), p. 15
Julia Hountou, "Picasso et la gravure, une technique polymorphe au service de ses thèmes favoris", p. 17.
Julia Hountou, "La céramique, la liberté entre les mains", p. 19
Julia Hountou, "La série des ateliers, tels des "paysages intérieurs", p. 21
Julia Hountou, "Picasso, quelques repères biographiques", p. 23
Liliana Salone et Guido Volpi
Halitus Terrae est le cabinet de curiosités de deux voyageurs, qui prennent des notes et rassemblent, à l’instar des grands voyageurs du XVe siècle, chaque image étrange qu’ils rencontrent au cours de leurs périples. Cette exposition comprend des petites sculptures, des dessins et des installations. Les sculptures évoquent des objets provenant d’un autre temps, d’un autre espace et dont la fonction nous échappe. A travers les dessins, les artistes emmènent le public à découvrir plus en profondeur ces mondes : cartes géographiques de lieux inconnus, personnages mystérieux, rituels étranges. Finalement, les installations plongent le spectateur dans un lieu sans repère d’espace et de temps, assemblages narratifs, oniriques et déroutants.
Inlassablement, les deux voyageurs se meuvent tels Bouvard et Pécuchet, les deux personnages de Flaubert, et se frottent à la science, au voyage, aux peurs de l’homme, à ses illusions, conscients de ne pouvoir apporter aucune réponse, aux questions qu’ils soulèvent. »
Extrait du texte de Julia Hountou, curatrice
Liliana Salone
Julia Hountou, “Halitus Terrae - Dessins de Liliana Salone et Guido Volpi”, Cyclo - Magazine culturel, janvier-juin 2016, pp. 16-19
Olivier Estoppey, Un matin d’or fin, 2014. Dessin à l’encre de Chine
Exposition : 12 juin - 05 septembre 2014, Galerie du Théâtre du Crochetan, Monthey (CH)
Curatrice : Julia Hountou
Exposition en collaboration avec BEX & ARTS, 01.06 - 05.10.2014 et la TRIENNALE d’art contemporain 2014 - Valais, 14.06 - 31.08.2014
Olivier Estoppey, Un matin d’or fin, 2014. Dessin à l’encre de Chine
Julia Hountou, “Olivier Estoppey - Un matin d’or fin”, Cyclo Magazine culturel
RTS “La tête à l’envers”, 17 mai 2014
