J’ai eu l’honneur de rédiger le texte de présentation de l’exposition De Manet à Kelly – L’art de l’empreinte. Collections de l’Institut national d’histoire de l’art (Paris), présentée du 12 décembre 2025 au 14 juin 2026 à la Fondation Pierre Gianadda (Suisse), une institution avec laquelle j’ai le privilège de collaborer depuis plus de douze ans.
La Fondation Pierre Gianadda dévoile en effet une exposition exceptionnelle réunissant 178 estampes majeures issues des collections de la bibliothèque de l’Institut national d’histoire de l’art (INHA). De Francisco de Goya (1746–1828) à Ellsworth Kelly (1923–2015), en passant par Édouard Manet (1832–1883), Edvard Munch (1863–1944), Odilon Redon (1840–1916), Käthe Kollwitz (1867–1945), Mary Cassatt (1844–1926) ou encore Vera Molnár (1924–2023), ce parcours foisonnant retrace près de trois siècles de création graphique, révélant les métamorphoses de l’image imprimée dans toute sa richesse formelle et sa portée intellectuelle.
Dans un texte de six pages (pp. 4–11), j’ai veillé à restituer avec précision, clarté et concision la diversité, la profondeur et les enjeux de cet ensemble remarquable.
Le magazine Le Nouvelliste accompagnant l’exposition a été tiré à 59’150 exemplaires.
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Edvard Munch (1863-1944), La Madone [Madonna], 1895-1902, lithographie au crayon et à l’encre en couleurs sur papier japon, 67 × 51,5 cm (feuille); 60,5 × 44,2 cm (sujet). Institut national d’histoire de l’art (INHA), Paris.